De mon partenariat avec l’hypnothérapie

Aujourd’hui sont parues dans un communiqué d’une école de formation en hypnose médicale quelques petites phrases qui m’ont interpellé.

L’hypnose de rue ou « street hypnose » a pris place sur le devant de la scène notamment dans les médias.
Je veux attirer ici l’attention sur l’utilisation malsaine de l’hypnose par ces « street hypnotiseurs » mêlant manipulation, confusion et dangerosité.

Et ils ajoutent même à la fin qu’ils sont en train de préparer un texte plus complet, visant à tenir au courant le corps médical de la vigilance à tenir afin d’éviter je cite :

Le développement de pratiques tendancieuses et perverses, pouvant être néfastes pour nos patients.

Je dois leur admettre que les mots sont bien choisis. Ils sont percutants, et possèdent tous une connotation très négative dans notre esprit. Cette petite attaque m’a donné envie de parler d’une facette que j’apprécie particulièrement dans l’hypnose de rue : mes partenariats avec des hypnothérapeutes. Des hypnothérapeutes pour lesquels je renvoie des personnes demandeuses les yeux fermés. Et à chaque fois, ces même personnes reviennent vers moi avec mille mercis sur le bout des lèvres. Des hypnothérapeutes dont je sais que l’éthique, la pédagogie et le côté humain passent avant tout. Des hypnothérapeutes en qui j’ai entièrement confiance et qui savent ce que j’ai à apporter, à mon échelle.

Parce que l’hypnose de rue n’est pas un danger pour l’hypnose médicale

A partir du moment où vous respectez l’éthique que je me tue à vous transmettre – à savoir ne JAMAIS utiliser l’hypnose dans un but thérapeutique sans y avoir été formé par une école reconnue -, vous n’êtes pas un danger. Vous êtes une aide, vous êtes une petite pierre rajoutée à l’édifice. Avez-vous lu la charte de déontologie Street Hypnose ?

Il me suffit de me souvenir de la conférence que j’ai donnée devant une quarantaine de médecins généralistes, urgentistes, dentistes et bien d’autres qui ont été conquis par mon approche de l’hypnose. Parce qu’ils acceptent la différence, et ils n’ont pour unique but que le bien-être de leurs patients. Ils savaient pertinemment que je n’étais pas là pour leur voler leurs patients. Mon message était simplement de dire « vos patients je les hypnotise tous les jours dans la rue. Je SAIS comment ils fonctionnent. Laissez-moi vous aider, et vous parviendrez plus facilement à les hypnotiser ensuite peu importe votre domaine de compétence ».

Le principe du cercle vertueux

J’hypnotise une personne dans la rue. Elle me demande si je peux lui faire arrêter de fumer ou enlever une phobie. Je la renvoie vers un hypnothérapeute de confiance. Elle se fait aider en l’espace d’une ou deux séances. Tout le monde en ressort gagnant !

Que gagne le client / patient ?

Il n’a pas besoin de chercher deux heures sur Google des avis sur tel ou tel thérapeute en ayant une peur presque dissuasive de tomber sur un charlatan. Parce qu’il y en a, même sur Toulouse.
Il n’a plus peur de l’hypnose. Au contraire, il donnerait n’importe quoi pour retrouver ce merveilleux état de relaxation.
Il sait retourner dans l’état d’hypnose le plus profond qu’il connaisse en quelques secondes seulement grâce aux ancrages que l’on laisse tout au long de la séance.
Il sait que l’hypnose fonctionne. Il n’a pas oublié son prénom et senti ses pieds collés au sol par magie. Et s’il peut oublier son prénom, pourquoi ne pourrait-il pas alors arrêter de fumer tout aussi simplement ?

Nous,  hypnotiseurs de rue, les avons conditionnés pour être encore plus réceptifs à la thérapie qui s’en suit. Thérapie réalisée par des professionnels.

Que gagne l’hypnotiseur de rue ?

La satisfaction ultime d’avoir pu aider quelqu’un, en plus de lui avoir fait découvrir la magie de l’état hypnotique. Je laisse volontairement mon mail, en insistant pour avoir des retours suite à la thérapie. Je vous laisse un exemple de message reçu dernièrement :

J’ai eu mon premier RDV hier avec ton ami hypnothérapeute c’était génial!!!!!!
Je verrais et te dirais si le problème pour lequel j’y suis allée s’est résolu en revanche pour la première séance déjà je me sens mieux de façon général, moins stressée physiquement et dans ma tête enfin je suis tout simplement détendu!!!!! et qu’est-ce que ca fait du bien!
Pour ma première séance je peux te dire: tu peux recommander!
Je suis tellement bien que tout les gents autour de moi je leur dit d’y aller au moins une fois dans leur vie pour sentir cette sensation de bien être général.

Bref, il met en confiance, ouvert d’esprit etc

Merciiiiiii pour le contact!!!!!!!

Imaginez recevoir des dizaines de messages de ce genre. Et vous comprendrez ce que je ressens. Je ne suis pas thérapeute, et j’ai l’impression d’avoir participé à quelque chose qui me dépasse. De ma petite pratique d’hypnose ludique, j’ai permis à des personnes de surmonter et de dépasser leurs plus grands problèmes. Et pour eux, ce n’était absolument pas prémédité. Ils marchaient dans la rue, se sont fait accoster par un hypnotiseur, et deux semaines plus tard leur plus gros problème s’est envolé. Il y a presque de la magie dans l’air je trouve. C’est juste beau. Ces partenariats complètent idéalement ma pratique, et renforcent mon envie de partager encore davantage l’hypnose au grand public.

Que gagne l’hypnothérapeute ?

Un gain de temps considérable ! La personne venue pour être aidée connaît désormais l’hypnose. Le thérapeute va pouvoir ré-induire l’état de transe en un petit claquement de doigt, et celui-ci sera certainement bien plus profond que s’il y avait passé 30 minutes avec ses techniques habituelles. Il n’a plus qu’à s’occuper de la partie thérapeutique, son cœur de métier. On lui offre littéralement la personne à hypnotiser sur un plateau. La personne n’a plus peur de l’hypnose, les préjugés se sont envolés, et elle reste sur une image positive avec tous les phénomènes hypnotiques extraordinaires qu’elle a vécu et toute la relaxation associée. Elle est convaincue que l’hypnose fonctionne, sur elle, et pas uniquement sur les autres parce qu’elle a vu un reportage à la télévision.

Le mot de la fin

Merci encore à Thierry qui se reconnaîtra.

Jean-Emmanuel

Passionné d'hypnose depuis 2008, Jean-Emmanuel partage avec vous toutes ses expériences et son savoir faire afin de vous permettre d'apprendre l'hypnose dans les meilleures conditions possibles. Il est également auteur du livre "la voix de l'inconscient".

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21 réflexions au sujet de “De mon partenariat avec l’hypnothérapie”

  1. Je pense que le partenariat entre les hypnotiseurs de rue et les hypnothérapeutes est une excellente chose qui fait gagner du temps aux uns, aide les autres à se retrouver entre les mains (mots) de quelqu’un de confiance.
    Je sais aussi que toi et certains autres connaissez la limite à ne pas dépasser entre approche ludique et approche médicale. Mais la barrière est vite franchie: les hypnotiseurs de rue plus immatures, qui ont une approche moins éthique dépassent parfois les bornes en matière d’hypnose de rue, et encore plus en matière d’hypnose médicale.
    C’est tellement facile de se sentir « puissant » et d’imaginer que si l’on maitrise les techniques de base de l’hypnose on peut alors faire le « bien » autour de soit. Même si on le fait de la mauvaise manière.

    C’est l’immaturité de certains hypnotiseurs (de rue) qui est dangeureuse, tout autant que l’incopétence de certains hypnothérapeutes.

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    • Je suis entièrement d’accord avec toi.

      Et c’est en ça que j’essaye vraiment de transmettre une éthique en même temps que des techniques. Et il est évident cela ne va pas fonctionner 100% du temps. Il va y avoir des personnes immatures qui vont passer entre les mailles du filet.

      Mais au final, elles auraient pu quand même apprendre l’hypnose sans mon aide. A l’heure d’Internet, c’est devenu beaucoup plus accessible. Je me réconforte en me disant que j’ai au moins essayé de transmettre autre chose que juste des techniques.

      Une question revient souvent dans mon esprit : dois-je tout arrêter à cause de quelques exceptions ?

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      • L’exception est plutôt dans l’apprenti hypnotiseur qui tourne bien… Tu sais très bien qu’il y a déjà plusieurs gros dérapages de personnes ayant appris sur ce site. Combien ne parlent pas des conneries qu’ils ont pu faire ? Pire encore ! Combien viennent sur ton site prendre ce qu’il y a à prendre, pour ne plus jamais revenir ensuite ? Et ceux là sont lâchés dans la nature, un partie d’entre eux fait tout et n’importe quoi et on en saura jamais rien…

        Quant au fait que les membres de ton site auraient pu apprendre l’hypnose sans ton aide… c’est exact.
        Mais peu d’entre eux en y seraient venu si ton site n’existait pas ! On en a déjà parlé, tu connais mon avis là dessus.

        « vos patients je les hypnotise tous les jours dans la rue. Je SAIS comment ils fonctionnent.».
        Quelle suffisance !

        Je te rassure Jean-Emmanuel, l’école d’hypnose médicale citée ne s’inquiète sûrement pas de savoir si l’hypnose de rue est un danger pour l’hypnose médicale. L’inquiétude est bien plus du côté de la santé des volontaires rencontrés dans la rue à mon avis…

        Bref, tu sais ce que j’en pense: on court tout droit vers l’interdiction de pratiquer l’hypnose dans la rue.

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        • Tu connais aussi mon avis là-dessus. Comme me le disait un ami hypnothérapeute au téléphone il y a quelques minutes encore, on ne va pas interdire les ventes de marteaux à Leroy Merlin sous prétexte qu’une personne en a utilisé un pour tuer sa femme.

          On ne parle pas suffisamment des thérapeutes formés dans des écoles réputées, qui ouvrent leur cabinet le lendemain et acceptent des personnes qu’ils vont détruire plus que reconstruire.

          Si la pratique d’hypnose de rue est bannie, celle d’hypnothérapeute le sera tout autant. On a tout intérêt à collaborer ensemble plutôt qu’à se tirer dans les pattes.
          Et quand à la polémique de l’hypnose réservée au monde médicale, c’est un autre débat. A la limite, je pourrais comprendre « l’hypnose THERAPEUTIQUE limitée au monde médicale », et encore.

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  2. bonjour,

    Il est évident qu’une pression monte de la part du milieu médical qui vent se réserver toute « intervention » sur ce qu’il considère comme sa chasse gardée. Toute intervention utilisée à des fins thérapeutiques, comme l’hypnose, le reiki, l’aromathérapie, le magnétisme etc….seront un jour réglementée comme l’a été l’osthéopatie.
    Il faut faire front, et pour nous hypnothérapautes Ericksonniens, faire dess retours de nos résultats aux médecins traitants de nos clients.
    Heureusement quelques médecins voyant nos résultats nous recommandent à leurs patients.
    Mais prudence: le milieu scientifique a tendance à rejeter ce qu’il ne maitrise pas!!!

    Gilles EYMAR
    Hypnothérapeute
    Castanet Tolosan

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    • Même problème ici au Québec. L,éternel dualité entre l’ingénieur et le technologue , le médecin et le guérisseur J,ai d’ailleurs tenté de joindre un regroupement hypnothérapeute mais malheureusement n’étant pas professionnel de la santé l’accès m’y fut refuser. Pourtant je suis praticien formé en hypnose holistique.

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  3. Je suis tout à fait d’accord, l’hypnose de rue et l’hypnothérapie ont tout intérêt à échanger, être en accord.

    L’hypnose de rue, il n’y a rien de plus naturel et spontané. C’est simplement aborder une personne et lui proposer une expérience positive, nouvelle, étonnante.

    C’est bien qu’il existe des sites comme celui-ci pour diffuser des idées positives sur l’hypnose de rue, et sensibiliser à la sécurité et aux précautions qu’il se faut de prendre dans ce contexte. Car j’imagine que des dégâts, il doit aussi y en avoir.

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  4. Bonjour Jean Emmanuel,
    Je ne sais pas de quelle école émane ce communiqué, mais ils sont en plein paradoxe en parlant de dangerosité, l’innocuité de l’hypnose étant l’argument principal des hypnothérapeutes pour que cette activité ne soit pas réservée aux médecins.
    Ce qui est tout autant paradoxal car la médecine ne s’intéresse pas vraiment à l’hypnose, pour une raison historique d’abord, quand Freud a imposé le rejet de l’hypnose au profit de la psychanalyse,
    et pour une raison commerciale maintenant, le marché de nombreuses molécules s’effondrerait, notamment les antalgiques, les hypnotiques, les anxiolytiques, l’anti allergiques…
    Sans tomber dans la théorie du complot tout le monde sait que la recherche médicale comme les règles de prescriptions sont aux mains des groupes pharmaceutiques. Il est donc peu probable que l’hypnose occupe la place qu’elle mériterait en médecine par son efficacité avant longtemps.
    Petite parenthèse sur la dangerosité, l’hypnose est un formidable moyen de manipulation, comme sa digne fille la PNL, et même en France nous avons eu des médecins psychiatres condamnés pour abus sexuels. Personnellement je pense qu’une personne bien intentionnée peut aussi occasionner des dégâts, y compris en spectacle, mais ce serait un autre sujet. De toute façon il serait néfaste pour son développement que l’hypnose soit réservée au monde médical.
    Je comprends ta colère, et sans te trouver suffisant je pense que si tu as conscience que les personnes que tu as hypnotisées se tourneront plus facilement vers l’hypnothérapie, les personnes qui ont vécu un échec s’en détourneront certainement, alors qu’elles pourraient entrer en état hypnotique de façon différente.
    Je te félicite pour ton intervention en conférence, mais cela montre bien l’état de délabrement de l’hypnose thérapeutique, en France comme partout ailleurs. L’hypnothérapie est encore le monopole des « Ericksoniens », terme entre guillemets car Erickson pratiquait une hypnose riche et diversifiée.
    Je trouve d’ailleurs qu’Olivier PERROT réagit bien tardivement en voulant maintenant réhabiliter l’hypnose classique. Cela me donne envie de parodier Desproges : L’hypnose, il y a ceux qui en parlent et ceux qui pratiquent … Sur quoi il m’apparait urgent de me taire.
    Mais non, un dernier mot. Il n’est pas étonnant que la critique vienne d’une école d’hypnose, et non du monde médical. A force d’enseigner depuis des décennies une hypnose light qui ressemble plus à de la relaxation, et de former des praticiens en une semaine, les patients qui consultent après une expérience d’hypnose de rue risquent d’être déçus de la qualité de la transe.

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    • Concernant Olivier Perrot, il prend quand même beaucoup de risques en prenant toutes les écoles Ericksoniennes à contre pieds. Il en a « pris pour son grade » comme on dit. Je l’ai vu de mes propres yeux 😉

      Je le trouve courageux, même si c’est peut-être tardif 😉

      Sinon pour le reste je trouve ton message très juste… Rien à rajouter 🙂

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  5. Bonjour, Entièrement d’accord avec toi, il faut savoir raison garder. Il existe une vraie complémentarité entre la street et l’hypnose thérapeutique et tu fais bien d’insister sur les gardes-fous à donner aux jeunes pratiquants. Le souci vient un peu des dérives, du jeu du  » c’est moi qui ai la plus grande, regarde ce que je sais faire », où la séance de street, divertissante risque de glisser vers une séance pseudo thérapeutique mal contrôlée. Malheureusement, tu ne peux pas être derrière chaque individu, chaque pratiquant, donc il y aura probablement une partie d’entre eux qui vont dévier un peu.
    Maintenant, de là à stigmatiser la street…je pense qu’il s’agit juste d’une histoire de parts de marché. Les écoles aiment avoir le monopole…et le côté « apprendre l’hypnose en quelques minutes sur internet » peut déranger certains qui y voient un manque à gagner.
    Bien à toi

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      • Que dire en effet?
        On ne peut être derrière chaque être humain…et heureusement d’ailleurs. Les médecins ont le serment d’hippocrate…mais est-ce que ça les oblige à être moralement irréprochables?
        Seul le jugement, la morale et l’éthique personnelle entre en jeu.
        C’est pourquoi tu fais bien d’insister sur le fait que l’hypnose de rue n’est pas l’hypnose thérapeutique lorsque tu enseignes.
        Maintenant je crois encore une fois que ce qui dérange ces écoles…c’est que le savoir n’est plus sanctuarisé dans leurs giron, mais qu’il peut être acquis de différentes manières. Et la perte du monopole est tellement horrible…

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  6. Pour ma part , je trouve que l’hypnose de rue n’est rien de plus qu’un outil complémentaire à toute approche thérapeutique d’ailleurs je vais suivre une formation en ce sens très prochainement pour complaire mon catalogue d’outils hypnotique qui comme tout bon ouvrier se doit d’avoir et maitriser un maximum d’outils pour accroitre ses compétences et être ainsi des plus efficace.
    Donc pour moi le secret est dans la diversité des approches pour rejoindre le maximum de gens en un minimum de temps tout en pratiquant les diverses thérapies brèves et c’est la la nuance (brèves) et non pas de faire durer les visites des clients-patients échelonner sur des années pour augmenter la taille de ma bourse mais bien plutôt en redonnant à chacun la chance de s’auto-traiter lui-même voila.
    De toute façon une hypnothérapie se doit d’être une aventure agréable avec des aboutissements palpables pour le traité. Le but étant de lui redonner le contrôle de sa vie .

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  7. http://www.franceculture.fr/emission-avec-ou-sans-rendez-vous-l%E2%80%99hypnose-et-ses-applications-2012-03-13

    A écouter, mais surtout la conclusion du Professeur Marcel Chatel, Professeur emerite de la faculté de Nice.

    L’Hypnose est née dans des Grottes, après la Chasse, sur les murs, elle est même pas née dans la rue, encore moins dans les cabinet des médecins.

    On a publié officiellement sur les réseaux Miroirs depuis un mois, une équipe Française essaye de placer son nom sur une recherche collective, mondiale qui commence dans les années 90.

    Les Hommes préhistoriques connaissaient déjà l’Hypnose.

    Un peu d’Humilité que diable, c’est un truc qui appartient à l’Humanité, que chacun peut faire et transmettre, très rapidement, peut être trop rapidement aux gouts de certains.

    Tout le monde peut cuisiner, tout le monde peut entrer dans une démarche de soin.

    Nous sommes des mammifères doués d’empathie, le club n’est pas si fermé, nous ne sommes pas la seule espèce, par contre, qu’est ce qu’on peut être cons dès fois, ça me sidèrera toujours.

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  8. Si toute l’Humanité apprend l’Hypnose, connait et maitrise l’outil, qui devrait être enseigné à l’école.

    Car, on le sait, l’hypnose, ce n’est que de la communication, de l’apprentissage, notre capacité d’évolution à utiliser, dès notre naissance et même avant, nos cellules miroirs.

    Pourquoi voir l’Hypnose comme un danger alors que c’est une chose qui doit faire partie de l’éducation de l’espèce humaine?

    Une équipe Française a proposé une classification du cerveau en 3 parties le mois dernier : Le cerveau émotionnel, le cerveau rationnel, le cerveau miroir.

    Il s’agit d’une des plus, sinon la plus importante découverte du siècle dernier, et sans doute de ce siècle puisqu’elle nous met aux frontères, on rebord de l’étude de nos mondes intérieurs.

    Alors les petites guéguerres commerciales.

    Excusez moi, mais proute allo heing ?

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  9. Bonjour,

    Je me présent je suis Hypnothérapeute. Sure Paris
    Et je vous merci encore pour le livres « la voix de l’inconscience »
    Que j’ai lu avec beaucoup de plaisir et d’intérêt, je trouve que vous faite un travail magnifique.
    J’ai parlait de vous a des amis Hypnothérapeute apprêt leur avoir donnée votre site, et il trouve que se que vous faite pour nous et magnifique, j’apprends des choses grâce a vous. Merci encore
    Cordialement
    http://www.elie-smila-hypnothérapeute.com

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