L’AIM, retour d’expérience et conclusion (3e partie)

Voici donc le dernier des trois articles consacrés au modèle AIM (Automatic Imagination Model) du groupe Head Hacking. Le premier et le deuxième article vous présentaient le fonctionnement et la théorie se cachant derrière ce modèle en apparence assez complexe.

Aujourd’hui, je vous apporte un point de vue totalement subjectif, résultat d’une mise à l’essai durant plusieurs mois. J’utilise en effet, ponctuellement, l’approche AIM lors de nos sorties Street-Hypnose à Toulouse. Et je continue d’expérimenter encore aujourd’hui, même si j’ai une opinion assez arrêtée désormais. Malgré une certaine désillusion, j’ai quand même trouvé dans cette nouvelle approche un intérêt tout particulier que j’ai à coeur de vous dévoiler.

L’AIM et les rappels à la réalité (2e partie)

Comme introduit dans l’article précédent, que je vous invite absolument à lire si ce n’est pas déjà fait, j’ai traduit et présenté ce que pouvait être le modèle AIM. Un désavantage lié à ces suggestions sans induction ni approfondissement est ce que l’on appelle en anglais les « reminders of reality » : les rappels à la réalité. C’est cette petite voix que l’on a tous à l’intérieur de nous (que j’appelle voix-off, et dont je donne des méthodes de contournement dans mon livre) qui nous rappelle constamment que « non, la main ne peut pas être collée sur la table. Ce n’est PAS possible ».

L’AIM, une révolution pour l’hypnose ? (1e partie)

Je reprends en détails la troisième partie d’un article rédigé par Kev Sheldrake décrivant le nouveau modèle de l’équipe Head Hacking encadrée par Anthony Jacquin. Cet article est disponible en intégralité, et en anglais, en cliquant ici. Pour information, je n’ai pas suivi l’article à la lettre. J’ai essayé d’en dégager les points les plus importants et je me suis permis d’ajouter mes petits commentaires personnels. Vous voilà prévenu !